Depuis quelques mois, on rêve du Chili et ses paysages incroyables : terres isolées et déchirées au Sud, désertes au Nord...
Mais avant de se retrouver immergés dans ces vastes étendues, nous passons quelques jours à Santiago, qui regroupe plus d’un tiers de la population chilienne, 7 millions tout de même, et Valparaiso sur la côte Pacifique.
Les tops du Chili urbain
- Premier pisco sour, la madeleine de Proust du voyage au
Pérou de Juliette avec Cécile
- Nuit au Mariott à Santiago, merci Telstra l’ancienne boite
de Juliette
- Le musée de la Chascona, ancienne demeure de Pablo Neruda.
Etrange maison de guingois au cœur d’un jardin superbe, un peu de fraicheur
dans un Santiago étouffant
- Manger du poisson frais et flâner à Quintay, un village de
pêcheur à 40km de Valparaiso
- Se promener dans les collines de Valparaiso au milieu des
maisons colorées et des ascenseurs ou funiculaires (qui ne marchent pas pour la
plupart d’ailleurs)
Premières sensations
Le Chili est très différent de la Colombie. Ici les bus
partent et arrivent à l’heure indiquée à un endroit précis, ne peuvent pas
dépasser 100km/h (sinon une sirène se déclenche), les conducteurs ne peuvent
pas mettre la musique dans le bus…
Bon cela a un côté agréable de ne pas être dans le bruit
tout le temps mais finalement c’était sympa la salsa, la zumba et les clips de
loveur latinos, ça faisait passer le temps dans le bus en fait.
Santiago est une ville européenne avec des gratte-ciel partout, et une chaleur étouffante. On a presque hâte de la quitter pour se rapprocher de paysages et sensations inconnus.
On préfère de loin Valparaiso, Valpo comme ils disent, déjà très différente de Santiago avec les petites maisons
colorées en bord de mer.C’était un port vital du Chili et de l’Amérique du Sud au
18eme siècle, qui a perdu de son importance avec l’ouverture du canal de
Panama. Mais il y a encore un sacré paquet de container dans le port !
La phrase de la semaine d’une touriste française, à un
point de vue de Valparaiso
« Bon quand même ça manque de cohérence architecturale ». Alors
que l’intérêt de Valparaiso est justement dans l’éclectisme architectural (ça
claque hein ?). Bref, elle n’a rien compris… Ça nous a bien fait rire.
Quelques photos
Santiago, en se promenant dans le quartier de Bellavista
La Chascona, maison de Pablo Neruda, qui a été ravagée par les partisans de Pinochet en 1973 puis rénovée.
Les rues désertes de Bellavista au milieu de l'après midi.
Le marché aux poissons
Coucher de soleil du Mariott
Santiago, en se promenant dans le quartier de Bellavista
La Chascona, maison de Pablo Neruda, qui a été ravagée par les partisans de Pinochet en 1973 puis rénovée.
Les rues désertes de Bellavista au milieu de l'après midi.
Le marché aux poissons
Coucher de soleil du Mariott
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